Best Of

Rectificatif: dans le post d'hier, une erreur de photo s'est glissée dans la publication, ce qui a entraîné un problème de compréhension, des propos concernant la raie de Mr Tapotour. Du coup, l'anecdote a été comprise de façon grivoise et on a pu imaginer que Mr T. était un sacré pervers alors qu'il s'agissait réellement d'une raie, pastenague, avec un gros dard dangereux et une grande queue... Ouh la voilà que cela recommence....passons à autre chose, le résumé du jour, qui pourrait ressembler à un best of de nos premières journées.

Ce matin, le départ officiel de la course des yoles et donné de la baie du Robert en direction de St-Anne. C la même ambiance incroyable, 18 embarcations, une vingtaine de gaillards par bateau plus les accompagnateurs, des journalistes, les accompagnateurs, les suiveurs.... En résumé, pour faire court, c un bordel sans nom. Les bateaux sont couchés les uns sur les autres , les voiles emmêlées, et quand je vous annonce que c de la navigation à l'ancienne, j'en apporte la preuve...
Ils bloquent la voile à grand coup de bâton, avec des morceaux de bois ou de noix de coco.

Mais une fois sur l'eau, le spectacle du départ, reste un moment magique, unique en son genre, auquel les Tapotours sont ravis d'avoir assisté. On sera la dimanche prochain, pour la fin du tour des Yoles.

Ensuite, on a décidé de retourner au sud, à la grande anse , pour essayer de voir de nouveau des tortues majestueuses. Et le résultat, dépasse largement  nos espérances. On croise plusieurs spécimens, dont une costaude accompagnée de 3 poissons parasites, spectacle grandiose...que Mme Tapotour a raté. Elle a préféré se faire piquer par une méduse sur le bras, retourner au bar sur la plage, draguer les autochtones en leur demandant un remède miracle. On l'a donc retrouvé au milieu de 5 grands blacks en train de se frotter du citron et du rhum sur le bras.

Cela ressemblait plus à une parade nuptiale, qu'autre chose, mais elle a été soulagé très rapidement. En espérant qu'elle ne se transforme pas en mollusque mou et flasque pendant la nuit.











Comme chaque jour, l’enchaînement apéro + repas, se transforme en moment culte, c bon, c beau, et sa passe la brûlure de méduse (n'était ce pas juste une simulation ou une tactique d'approche du grand mâle antillais?). On ne se lasse pas des acras, du poisson grillé, des crevettes avec riz, crudités ou légumes de pays. Ça vaudrait presque un bon burger stasunien!



L’après-midi sera consacré à jouer dans les grosses vagues de la plage du diamant, la préférée des filles Tapotours.
Mme T., de plus en plus méfiante, ne sais plus quelle position adoptée. Dans l'eau, piqûre de méduse, allongé dans le sable, morsure d'araignée, dans son lit, attaques de moustiques, donc elle essaye les arbres...
Ça fait bizarre de côtoyer la femme de Pierre Richard au quotidien... la chèvre, le distrait, les malheurs d'Alfred, le grand blond, la course à l’échalote... on a l'impression de revivre les grands classiques du cinéma comique, tous les jours. Même si au bout d'un moment, il y a un côté Poelvoorde dans le boulet ou Brel dans l'emmerdeur, on ne changerait pas notre place place pour tout l'or du monde car on ne s'ennuie pas une minute.

Ad Taleu'

PS: Nous sommes en attente d'une réponse d'un pêcheur pour nous transporter sur l’îlet à eau, mardi et mercredi. Sachant qu'il n'y a pas internet la-bas, il faudra patienter jusqu'à jeudi pour la suite de nos aventures.